L’Europe et Macron, fossoyeurs de l’industrie française !
Novembre noir pour l’industrie française
Ce mois-ci, le groupe Auchan a annoncé la suppression de 2400 postes, tandis que Michelin a officialisé la fermeture de ses usines de Cholet et de Vannes, sacrifiant 1254 emplois. Des milliers de familles sont frappées par ces décisions brutales. Une fois encore, nos dirigeants se montrent incapables de résister à la mondialisation sauvage.
Macron est totalement impuissant
Ces deux groupes, pourtant bénéficiaires de fonds publics, n’auront pas à rembourser ces aides. Où est l’intérêt général dans ce renoncement ? Pourquoi l’État ne demande-t-il pas des garanties de maintien de l’emploi en échange de son soutien financier ? Lorsqu’un gouvernement aide massivement les entreprises, un engagement minimum devrait s’appliquer en retour.
Des choix économiques désastreux
Face à cette crise, l’État français reste spectateur, sans vision ni ambition. Le gouvernement préfère alourdir encore la fiscalité, étranglant un peu plus la compétitivité de notre pays avec ses hausses d’impôts. En 30 ans, la part de l’industrie dans le PIB français est passée de 25 % à 10 %, un effondrement dramatique.
La responsabilité de l’Union européenne
L’Union européenne porte une part de responsabilité dans ce désastre. Les normes qu’elle nous impose, comme la traçabilité du caoutchouc dans le secteur des pneumatiques, coûtent des centaines de millions d’euros par an, pendant que les concurrents asiatiques y échappent. Bruxelles, avec ses politiques énergétiques mal pensées, contribue à l’explosion des coûts de l’énergie. Produire un pneu en Europe coûte près de deux fois plus cher qu’en Asie. C’est un sabotage économique organisé.
Des normes écologistes injustifiées
Bruxelles s’obstine à promouvoir des mesures d’écologie punitive comme l’interdiction des moteurs thermiques. Les critiques de certains envers les automobilistes, tout en soutenant les pneus, sont tout simplement indécentes. Michelin, fleuron de notre excellence industrielle, paye aujourd’hui le prix de ces choix absurdes.
Un avenir incertain pour l’industrie française
Si rien ne change, d’autres fermetures d’usines suivront. La France doit retrouver sa capacité à produire et à innover. Elle doit protéger ses industries et ses travailleurs. Il faut des choix courageux, des réformes structurelles et une vraie volonté politique.