La « grande transition écologiste » que von der Leyen veut nous imposer
Un groupe « d’experts » a présenté cette semaine un rapport à madame von der Leyen, visant à transformer notre agriculture et nos habitudes alimentaires. Cette « grande transition écologiste » inquiète, car elle cible directement nos modes de vie.
La consommation de viande menacée
L’un des objectifs controversés de ce programme est de réduire notre consommation de viande, affirmant qu’elle serait nocive pour la santé et pour l’environnement. Ce rapport promeut les protéines végétales et propose d’imposer des repas végétariens dans les écoles, accompagnés de cours de sensibilisation, voire de propagande.
Ce rapport oublie un élément fondamental : pour beaucoup, manger moins de viande est d’abord une question de pouvoir d’achat. Les familles réduisent leur consommation de viande parce qu’elles ne peuvent plus se la permettre, et non par conversion au dogme écologiste. Ce décalage montre à quel point les élites Bruxelloises sont déconnectées de la réalité économique des citoyens.
Les éleveurs en première ligne de cette transition forcée
Quant aux éleveurs, ils seront les premières victimes de cette transition imposée. En visant une agriculture sans élevage ou fortement réduite, l’Union européenne menace des milliers d’exploitations essentielles pour l’économie rurale, la gestion des paysages, et la biodiversité.
Une dépendance accrue aux importations de mauvaise qualité
Ces normes pousseront les petits éleveurs à abandonner leur activité, favorisant ainsi l’importation de viandes étrangères produites dans des conditions environnementales et sanitaires douteuses. Cette aberration ne fera qu’augmenter notre dépendance aux produits de mauvaise qualité, trahissant la volonté des bureaucrates de Bruxelles qui négocient des traités de libre-échange loin des préoccupations des citoyens.
Défendons notre souveraineté alimentaire
L’Union européenne semble prête à sacrifier l’agriculture. Mais nous serons toujours aux côtés des agriculteurs pour défendre la diversité de nos produits, nos savoir-faire et notre souveraineté alimentaire.